Deviens un monstre
Porte d’entrée dans l’événement, l’atelier de transformation en monstre proposé par Federica Terracina a accueilli plus de 150 personnes en quelques heures. Comme les photos en témoignent, bon nombre d’hommes ont même donné du fil et de l’aiguille pour confectionner les costumes de leurs enfants.
Le mur de monstres
L’idée est toute simple : découper, afficher une série de photos extraites de vieux magazines type « Modes et travaux » et « Femme d’aujourd’hui », puis disposer quelques feutres et stylos billes aux abords de la grande surface d’exposition de ces images. L’idée renvoie à une pratique aujourd’hui presque disparue : refaire le portrait des vedettes en couverture de magazines télé. Et les propositions des participants sont souvent simples et efficaces !
Danse contact : faites bouger votre monstre !
Autour de Laure Peyramayou, un atelier de danse 1 parent ./ 1 enfant pour faire bouger, se rouler par terre et s’exprimer librement tous les monstres ! Trois ateliers de 10 personnes ont été proposés au cours de la journée.
Le golem collectif
De retour de Berlin (où il a croisé plusieurs spécimen), Julien Hanriot-Colin a choisi de proposer aux monstres la fabrication collective d’un golem de près de 2 mètres de haut, fait de l’addition de tout un tas d’objets improbables collectés à la ressourcerie. Plus posé, au 3e étage du 108, l’atelier a rassemblé les plus bricoleurs des petits monstres, armés de leurs pistolets à colle ! La bète attend
Restitution des rois de la bricole : marionnettes monstres
Au Chafouin, vers 18h, les participants de l’atelier Rois de la bricole de la semaine précédente présentait à un public attentif les saynètes imaginées dans la continuité de leur atelier de fabrication de marionnettes.
Espaces de jeux pour enfants
En plus des ateliers, la ressourcerie proposait des espaces de jeu en autonomie : construction d’un bar en palettes par Kristen et Jérémie, mise en place de mobilier de récup’ créé à l’occasion du Festival Hop-Hop-Hop, mise à disposition de jeux, de livres pour enfants, etc.
Au total, l’événement a proposé une réelle densité d’activités grace à la collaboration de la ressourcerie, du Café des enfants d’Orléans et de l’ASELQO. La réussite du projet laisse à penser qu’il devrait y avoir une seconde édition en 2017 !
